Sorify #1 | Le Monde ferme la fenêtre éditoriale de Caroline Fourest

Nota bene:
Ceci constitue mon premier exercice avec Storify et je dois avouer que je n’en suis qu’à moitié satisfaite. La tentation d’inclure un maximum de citations du Net, notamment de Twitter (j’ai un peu négligé Facebook, parce que pour nombre d’interventions, il faut être en relation sur le site avec les auteurs de ces messages), fait que l’on risque d’avoir des pages interminables. Il s’agit alors de trouver les bonnes, mais sans tomber dans un autre travers, celui de la citation trop sélective et biaisée. Il y a eu plusieurs occurrences d’erreur d’enregistrement, qui me faisait craindre de devoir tout recommencer. Parfois, les listes de liens ne s’affichent pas correctement.  Bref, c’est un exercice nouveau pour moi et j’espère pouvoir m’y ré-essayer afin d’affiner mes capacités de rédaction sur le Web. En même temps, je n’ai pas choisi le sujet le plus facile pour ma première tentative! Mais, c’est Storify qui m’a paru particulièrement adapté pour le traiter, puisque je voulais faire une espèce de revue du Web sur cette actualité. Comme vous le remarquerez vite, j’apprécie beaucoup le travail de Caroline Fourest. Inutile de m’abreuver d’insultes et de reproches. J’ai de bonnes raisons d’avoir une opinion aussi favorable de ses écrits. Primo, j’ai lu la plupart de ses livres, un certain nombre d’articles de sa revue Pro-Choix, des éditos et je suis son blog depuis quelques mois. Deuxio, j’ai contrôlé une bonne partie des références qu’elle donne dans ses livres pour m’assurer qu’elles ne sont pas bidon ou mal utilisées. De manière générale, à part quelques lacunes ici ou là, et quelques petites erreurs d’interprétations (notamment un nombre complètement faux concernant l’évolution politique de l’UDC en Suisse), je n’ai rien trouvé qui puisse remettre en cause la qualité rigoureuse de son travail. Tertio, j’ai aussi passé en revue les erreurs qui lui ont été reprochées dans certains de ses ouvrages, notamment “Frère Tariq” et il se trouve que la plupart des critiques sont soient fausses, soient complètement bancales. Qu’elle fasse ici ou là des erreurs, sur des milliers de pages imprimées, ne signifie certainement pas qu’elle soit négligente, et encore moins qu’elle serait une “faussaire”. Personne n’est absolument infaillible. Et surtout pas ses détracteurs les plus acharnés.  Ajoutez à cela qu’elle a un style d’écriture remarquablement clair et fluide, je pense que j’ai assez bien justifié mon appréciation de cette journaliste-essayiste et chercheuse. Continue reading